The Way of Steel
Bienvenue,
si vous êtes un fan de métal, rock, … et que vous voulez découvrir des groupes français, vous êtes au bon endroit! Je fais des chroniques, des biographies, des live reports et des interviews sur majoritairement des groupes du sud mais aussi du nord dorénavant. Vous trouverez aussi la page dédiée au Fan Club de Galderia, un groupe Marseillais, les comptes des réseaux sociaux liés à ce site sont d'ailleurs ceux du fan club.
Bonne visite Fans de Hardos!
Merci aux partenaires tels que Metalhead Corner, Groudoudou Events, Sabre Tooth, Metal ll Mars, Furious Metal Fest, FHMC, Grumpy Mood, L'Esprit Metal.
CHRONIQUES
Soulmates
Le nouvel album de Scarlean est sorti en fin d’année 2019, et que dire? C’est une bombe! Équilibre entre énergie, lourdeur et mélodie, c’est cette harmonie qui fait toute leur puissance.
On commence l’opus avec Next to the maker, un morceau qui paraît agressif au début mais qui se révèle plutôt étrange, mystérieux grâce au calme de la voix. On retrouve la dureté lors des passages instrumentaux ce qui nous permet de remuer la tête un peu.
On continue avec Haters. Toujours avec cette lourdeur complétée par une mélodie lancinante, je dirais nostalgique. On change totalement de style avec une voix ainsi que des sons plus modernes, ce qui rend la chanson bien dynamique.
Wasting Time est le troisième titre de l’album. Surtout centré sur des rythmiques, la voix permet à toute la mélancolie de se dégager grâce à ses mélodies sur le morceau. Le passage instrumental au milieu le rend intrigant, l’ambiance est bien installée à ce stade.
Puis c’est Perfect Demon qui vient. Le calme après la tempête, vous vous souvenez de cette expression? Ce morceau l’illustre parfaitement. Après trois morceaux pleins de puissances, c’est le calme apaisant mais toujours accompagné de cette ambiance intrigante. Mais bien évidemment, méfiez-vous de l’eau qui dort, le titre prend en force au fur et à mesure.
On arrive à la fameuse chanson… Le cover de Wonderful Life! Un superbe featuring avec Anneke Van Giersbergen. Ce n’est pas une simple reprise, mais une véritable interprétation. Ils ont réussi à la reprendre tout en l’adaptant dans leur style, leur ambiance et leurs superbes harmonies vocales.
Treat Me Bad, quelle force! Je trouve qu’à l’inverse des précédentes, la voix fait plus preuve de puissance, de dureté et nous devons la mélodie aux instruments. On remarque aussi bien facilement la batterie qui depuis le début ne passe pas inaperçue.
Douceur au commencement, c’est le morceau You Will Never Know. La dynamique est assez marquée, on varie avec de la tendresse si je puis dire, et de la force, autant dans les changements de voix que dans les variations des sonorités.
Our World Will Surely Stop le cri d’appel. Une musique qui respire l’espoir, qui se contredit toute seule avec les riffs plutôt puissants mais mélodieux en contraste avec l'inquiétude des notes en fond, toutes douces, sur la fin du titre.
Le rythme ne nous échappe pas avec cette chanson, A Lie to Remember. Evidemment, Scarlean n’a pas oublié de mettre en avant la section rythmique souvent laissée au dernier plan. Nous pouvons nous régaler de ce mélange et de ces sons lancinants. Et petit retour guitare avec un solo final qui envoie.
Avant dernier morceau, Ego. On retrouve le côté bien saccadé de leur ambiance mais cette fois avec une certaine légèreté sur les couplets, autant dans la voix que dans la guitare. Mais ne croyez pas à une acoustique, le refrain est bien lourd et on a de quoi balancer la tête d’avant en arrière.
Et on finit l’opus avec The Smell of the Blood. Un morceau pour terminer, pour clôturer, il respire la fin mais promet des belles suites et de grandes choses. L’apparition de voix féminines apporte un plus à ce titre.
Scarlean a bien évolué, on le voit très bien mais ce n’est pas fini. Comme je le disais, ils promettent encore de grandes choses. En attendant ils ont bien ancré leur ambiance, une splendide force vocale qui est vraiment bien mise en valeur, un équilibre instrumental magistral, entre rythme et mélodie, lourdeur et légèreté, puissance et douceur. Juste bravo!
Return of the Cosmic Men
Le dernier opus de Galderia est sorti en été 2017, il aura fallu attendre 5 ans. Mais cela vaut le coup ! Inspiré par Gamma Ray, Avantasia et tous les groupes de power métal allemands en général, ils ont créé leur marque de fabrication.
Parlons en premier du single High Up in the Air. Ce fût la « bande d'annonce » de cet album et le quatrième morceau. Un bon hymne qui nous donne l'avant goût de la puissance universelle des marseillais. Un refrain bien marquant, simple à retenir et à chanter et une mélodie entraînante, bref une chanson qui met l'ambiance.
Galderia est un groupe de power métal et qui dit power dit puissance et rapidité. Legions of Light et Blue Aura, sont les morceaux représentatifs. Avec des riffs de guitare rapides et les voix de Tom et Bob, cela nous donne des frissons.
La musique qui nous fait frémir sur cet opus c'est bien Wake Up the World, la ballade. La combinaison des trois voix avec Seb sur les couplets, Bob sur le pont et Tom sur le refrain, est un mélange réussis et tout aussi magnifique.
Return of the Cosmic Men, la chanson rythmée et le choeur galderien bien présent.
Il y a une touche d'acoustique avec Pilgrim of Love. La musique calme et toujours dans l'universalité.
Ils finissent en beauté avec une deuxième version de Wake Up the World, pour danser ! Puissante et entraînante, moins métal, mais elle boucle cet album sur une note dansante.
Pour résumé, Galderia a frappé fort cette fois avec sa richesse de voix, de riffs épiques. Les mélodies galderiennes et le choeur en fond, sont leur marque de fabrique avec leurs textes sur l'universalité. La magie de la puissance universelle opère encore une fois avec plus de technique, d'expérience !
Bramble and Bones
Sorti durant l'été 2018, l'EP de ce groupe tout ressent est une véritable découverte ! Il comporte 5 chansons qui donne un très bon avant goût du potentiel de Blooming Discord, créé en 2014 et composé de Kage, Scavenger, Scrook et Gold.
On démarre l'opus avec Avenger of the Deceived. Un morceau puissant, bien rythmé. Il nous ouvre le panel de voix que peut utilisé le chanteur avec du clair, torturé et growl. Les différents riffs de guitares qui ont limite une ambiance inquiétante pour le vengeur de cette histoire, sont extras.
On poursuit avec The Way We Lose. Elle monte encore plus en puissance. Le chant guturale sur ces guitares aux harmonies graves, suivit d'un refrain sur une tonalité plus mélancolique avec une voix qui repasse en claire. La musique se transforme dans une ambiance un peu sinistre avec ce chant angoissante, et les guitares redémarrent et donne une rapidité.
Creator, celle où je ressens les fortes influences de System of a Down au départ. Toute calme au début, elle nous reprojette dans l'esprit Blooming Discord. Un chant guttural sur les couplets, un chant clair sur le refrain mélangeant le coté cru et la mélancolie. Le piano amène la tristesse tandis que les guitares, l'adrénaline.
Et voilà notre ballade, Torn Apart. Comme son nom l'indique, elle nous déchire. La mélodie est triste et lente. Les paroles sont touchantes ainsi que ce refrain qui sonne tel un appel. La batterie marque vraiment le rythme. Sur la deuxième partie du morceau, les références à Tim Burton sont présentes avec ces voix torturées qui nous rappellent tous ses films avec chansons.
Et pour terminer, Burn It. La chanson sorti comme single. C'est le summum, des couplets avec un tempo marqué, des riffs assez rapides et surtout puissant, et un refrain facile à retenir et entraînant. Ce titre a une deuxième partie qui accélère encore plus et permet de terminer le mini album avec une dynamique et une énergie débordante et remarquée.
En bref, félicitations à Blooming Discord avec cet entrée en scène impressionnante ! Puissant, rythmé, diversifié et inquiétant, cet EP est une bonne carte de visite. Un groupe que je dirais inclassable, avec des influences variées, une inspiration de Tim Burton originale et un line-up talantueux ! Bravo aux compositeurs, aux interprètes !
Flying Music
Le deuxième opus de Bob Oliver Lee... Tant attendu après le premier ! Celui-ci est encore plus technique que le précédent. Un vrai régal pour les oreilles ! Le groupe est le projet « solo » de Bob Saliba, guitariste, bassiste, compositeur, auteur, chanteur et interprète marseillais, avec lui Pascal Garel, François Albaranes et Olivier Tijoux.
L'album commence avec Everything's Gone. Toute calme, on peut remarquer la précision de la performance vocale rien qu'au début. Un tempo plutôt modéré avec des harmonies de guitares plus lentes. Un solo un peu plus rapide équilibrant la rapidité du morceau. Les paroles sont marquantes.
On poursuit avec Dead Heart. On continue sur cette ligne de lenteur reposante mais avec cette fois un tempo lent. La voix envolée et le texte avec cette tristesse sont un ensemble magnifique. Un solo toujours en équilibrant la vitesse. La guitare acoustique et la guitare électrique forment un contraste très intéressant et qui se complète.
La première instrumentale de l'opus, Flying Music. Toujours apaisante, en l'écoutant j'ai l'impression d'entendre une mélodie un peu celtique dûe aux percussions et aux guitares jouant dans les aigus. Les paysages de l'écosse avec toute la nature. C'est apaisant comme la musique.
These wings ! Je dirais que c'est sûrement le petit diamant de cet album. Le tempo lent, la voix envolée et éraillée, le piano qui rajoute une mélancolie. Des paroles prenantes et touchantes. Les notes envolées comme le nom l'indique, avec des ailes.
Le passé... Thoughts and Regrets. Le tempo de l'album reprend de la vitesse, il est plus modéré sur celle-ci. Et pourtant, elle est plus dynamique mais reste tout de même nostalgique. Toujours un texte incroyable et une voix accrochante. La fin de la musique au piano.
Deuxième instrumentale, River of the Temple. Les sons sont vraiment parfaits avec le thème. Calmes mais qui varient telle une rivière.
Rising, une musique bien portée sur la nature. Le rythme sonne bien avec les harmonies et la voix. Cette fois la sonorité est plus joyeuse que les précédentes.
Forbidden Ways, le chant paraît être un appel. Le tempo lent mais la musique est bien rythmée. L'influence vocale se ressent bien ici, la voix érayée de Jorn Land. Les mélodies s'envolent et respirent la légèreté.
Un rythme plus rapide avec Sailors from the Crying Planet. Elle diffère des autres avec ce tempo plus entraînant, la basse est beaucoup plus présente. Elle est plutôt joyeuse dans l'ensemble mais vers la fin du morceau le caractère change et il est un peu mélancolique puis on passe sur le solo.
Et pour finir magistralement, From the Pyramid Rises the Flying Spirit of the Pharaoh. Une très belle instrumentale dans le thème de l'opus. Calme, triste et à la fois pleine d'espoir, de légèreté. De quoi nous apaiser et apprécier la bonne musique en se détendant.
Donc pour conclure ? Une MERVEILLE ! Un opus calme, qui détend mais qui regorge de technique, d'harmonie, et de passion. Il est rempli d'émotions, avec des textes touchants et parlants. Après l'avoir écouté la première fois, je pleurais. La voix, la mélodie, tout est fort et nous donne des frissons voire pour les sensibles, comme moi ! Un conseil ? Préparez-vous à être décoiffés ! Je félicite et remercie le compositeur !
The Universality
Le premier album de Galderia est sorti en 2012 et ça décoiffe ! Seulement 2 ans après leur EP, ils sortent chez Métalodic Records. Une nouvelle marche gravie par le groupe !
Ils entament leur opus avec une intro, Universal Glory . La mélodie est jouée par un orchestre, elle n'est pas métal mais se fond très bien avec le style de musique.
On enchaîne avec Children of the Earth qui nous projette en plein power métal. Rapide, puissant et Mélodique! Une entrée propulsante et surprenante !
Ensuite Universality. On continue dans la lancée du power avec un début de couplet plutôt calme et le rythme entraînant qui au fur et à mesure s'impose. Le choeur dans le deuxième couplet fait penser à un appel.
On prend de la vitesse. Raise the World démarre avec un riff de guitare plus rapide tout comme le débit des paroles, chantées avec une belle vitesse mais collant tout à fait avec la musique. Ajoutant la voix en growl, cela permet une nouveauté très appréciable dans le titre.
Sundancers, sur un rythme entraînant, Seb, Val et Pierrine chantent avec le choeur galderien. On ressent toute l'inpiration d'Avantasia dans ce titre en restant tout de même du Galderia. Les différences de voix enrichissent la musique et permettent encore une nouveauté.
Parlons de voyage dans l 'espace ! Far Space, une des chansons phares de l'album ! Le rythme entraînant, le choeur apportant la mélodie supplémentaire lors du refrain pouvant être repris par le public. Elle possède une certaine rapidité qui se calme lors de la deuxième partie du morceau et qui repart avec le solo.
Il y a la ballade, Galderians, vous savez celles qui nous donnent envie de lever le briquet en l'air ! Et bien, celle-ci nous donne des frissons avec la voix touchante de Seb, le piano puis les autres instruments qui jouent une mélodie berçante.
Les océans, les grands bleus... Ocean of Light ! Étonnamment, elle a une intro orchestrale puis une mélodie assez lente mais la dynamique est bien marquée. Le refrain est principalement mélodieux grâce au choeur. Elle est encore une nouveauté qui enrichit cet opus plein de découvertes.
Et c'est reparti ! Beyond the Cosmic Winds, avec un tempo modéré, le refrain s'accélère. Le rythme très saccadé de la musique nous rappelle le côté heavy du power métal, mais les harmonies l'emportent tout de même. Cette pause toute calme avec le choeur en fond est parfaite pour pouvoir réenchaîner avec la vitesse. Et une partie semblable à un hymne nationale, celle des galderiens ! Un beau mélange de rythmes et de mélodies.
Telle Raise the Word, Rising Soul nous surprend pour les riffs et le débit des paroles. Les notes sont plus envolées et une belle partie de solo.
One Million Dreams, Je dirais la deuxième chanson far. Dynamique, entraînante, des paroles faciles à retenir ! Tout pour une chanson de concert. Mais pas que ! Les couplets sont beaucoup plus saccadés que le refrain.
Call to the World , est la deuxième power ballade. Elle est plus puissante mais reste tout de même une ballade touchante. Un rythme saccadé et de belles harmonies !
Ils terminent l'album avec L'outro, un morceau encore d'un autre style, plus « far west », mais ils bouclent ce premier opus avec beaucoup de charme !
Pour le Premier album, Galderia a fourni de la mélodie, de la puissance et du rythme à volonté ! Pleins de nouveautés enrichissantes ! The Universality est une réussite, deux ballades et des musiques entraînantes, un album de 13 titres et pas le temps de s'ennuyer ! Excellents !
Rise, Legions of Free Men
L'EP, le premier mini album physique de Galderia ! Réalisé en 2010, il est attendu avec impatience et c'est une belle claque !
Il est ouvert avec l'intro The Awakening, l'appel des galderiens. Elle nous donne une idée de ce qui nous attend dans cette EP.
On continue avec Rise, Legions of Free Men qui commence fort. Le choeur galderien et les riffs de guitare très mélodiques, avec un coté assez rapide. Cette joie et ce coté entraînant !
Seven Stars, on prend encore plus de vitesse. La voix sonne comme un appel dans les couplets. La « pause », avec seulement la voix et une mélodie puis les instruments qui reviennent au fur et à mesure pour enchaîner sur le solo. Entre la rapidité des riffs et les moments « calmes » avec les voix et le clavier seulement, on ne sait plus ou donner de la tête. On finit magistralement avec cette note de voix envolée.
Circle of illusions, c'est pour moi la plus divergente de toutes. On commence avec directement les paroles et simplement le clavier. Le texte est débité avec une légère mélodie et une rapidité. Puis un rythme bien saccadé vient se rajouter avec les instruments qui entrent en scène, dans les graves. Le refrain et le pont, on retrouve bien les harmonies variantes de Galderia.
On poursuit avec From Gaia to Galderia. Comme la précédente, on retrouve un rythme saccadé pourtant la mélodie est beaucoup plus envolée sur celle-ci. Elle possède un pont avec de beaux aigüs et alors le refrain est incroyable, la hauteur est impressionnante ! La batterie fait bien ressortir la puissance de ce morceau.
Land of Galderia, on repart sur le power semblable du début. Elle possède une sorte d'innocence lors du couplet et le refrain reprend une force et une dynamique puissante en contrastant avec les voix. Pour couper, une petite partie « à cappella » qui relance le morceau avec le solo derrière.
L'EP se termine avec Verity, l'outro acoustique. Elle fait une grosse différence avec le reste du disque mais laisse reposer et reprendre ses esprits après la puissance des autres morceaux. On finit donc avec une touche calme et agréable.
Pour ce mini album, ils ont fait une entrée en scène épatante. Le pouvoir des chants universels Galderiens sont puissants et entraînants. Inspirés par des groupes de power métal mélodique allemands, ils ont créé leur marque de fabrique. La claque magistrale !
Between Time and Space
Le premier album de Bob Oliver Lee, le projet solo du musicien marseillais, Bob Saliba. Il sort en 2009. On découvrait son monde avec cet opus, du rock progressif.
On commence avec l'intro entièrement instrumentale. Forgotten Cities, nous en dit long sur ce qu'on va pouvoir écouter. Une mélodie assez nostalgique, calme et reposante mais aussi technique. La couleur est annoncée !
On enchaîne avec Scars. Un rythme entraînant, une harmonie entre l'acoustique et l'électrique. Elle contraste bien avec l'intro et on a pu avoir un aperçu de la voix.
Jade est une courte instrumentale qui retourne dans le style de l'intro. On retrouve l'acoustique en fond.
On a LA chanson représentative de l'album, pour moi, elle se nomme d'ailleurs comme l'opus. Elle possède tout le style ! Le calme des acoustiques, les harmonies et mélodies de l'électrique, la voix nostalgique et toute la technique. A la moitié il y a un bon solo dynamique qui donne un côté entraînant. Le morceau est très varié et c'est un régal pour les oreilles !
Trust. On a une mélodie de voix plus envolée sur celle-ci. Les guitares sont très calmes.
Ça swingue ! Vinland est plus puissante que les autres. On retrouve des mélodies plus heavy. Même pour la voix, elle diffère.
Ruby, instrumentale bien entraînante. Une touche de nostalgie avec les notes aigües. Une musique courte qui permet d’équilibrer avec les autres morceaux plus longs.
Avec un tempo plus lent, Burn Trough the Night ! Une mélodie calme et mélancolique, ses riffs de guitares techniques. Le rythme accélère un peu vers la moitié de la chanson. Elle est plus comme Vinland.
On termine avec Ministrel of the Woods. Comme le nom l'indique, la piste est très moyen-âgeuse. Simplement en acoustique avec des harmonies de voix, une mélodie qui se répète. Très bon final apaisant pour l'opus.
Le premier album est une très bon début musical. Il est très axé sur la guitare, les riffs et la technique sont impressionnantes. Une jolie alternance entre les rythmes entraînants et les rythmes mélancoliques. Pour la dernière, elle est différente et donc nous surprend sur la fin. C'est un album varié et très bon !
Tom Abrigan and the Shrunken Heads
Tom Abrigan and the Shrunken Heads, le premier EP ! Woaw ! Très belle surprise... Le projet du guitariste Tom Abrigan envoie du lourd ! Sortie en 2018.
On débute le mini opus avec The Edge of Silence. On sent la modernité dans le morceau, les harmonies accrocheuses et un rythme plutôt marqué. La voix un peu éraillée enrichit la musique. On nous offre même un passage un peu jazzy après les deux tiers du morceau.
On enchaîne avec Chainbreaker. Dans un style plus rock country, biker, les guitares chantent presque dans les couplets. La musique est assez entraînante, et on a un très beau solo à la suite. Après deux morceaux, je reconnais le style mais ils sont très distincts.
Neissenkhepa, un contraste dès le début. Le chant plus mélancolique avec pourtant une musique puissante. Le mélange est osé et réussit ! Le morceau, se tourne plus sur du heavy. La partie chant s'envole beaucoup plus sur ce morceau vers la moitié, puis on change avec des mélodies à la guitares.
Pas le temps de souffler, on suit avec Kid Stuff. Un rock bien puissant. Une alternance entre la lenteur et la rapidité, un jeu entre la voix et la guitare. Des mélodies qui refont penser un peu à Chainbreaker.
On finit avec A Million Tears in Veins. Calme et relaxante. Dans du rock progressif, des mélodies plus de types ballades, avec un rythme que l'on pourrait claquer des doigts. Un chœur en fond harmonieux. Un bon rock !
Alors... ils nous ont pondu une petite merveille du rock ! Des harmonies et mélodies, des riffs techniques, une voix rock, de la modernité et tout ce qu'il faut pour un bon EP ROCK !! Avec leur style, ils nous font redécouvrir la musique.
Radio Unplugged
Un opus particulier sorti en 2017 par Galderia. Il s'agit d'une tournée en Pologne acoustique avec « Lutnia Choirs of Zgierz ». On découvre 14 titres en versions acoustiques et franchement... Jolie surprise !
On entame avec l'intro Universal Glory du premier album. Une version semblable à la première.
On a connu vous savez, Beyond the Cosmic Winds, Universality, Rise Legions of Free Men, One Milions Dreams, Far Space sur l'opus précédent. Elles étaient puissantes, rapides ! Là, on découvre des versions plus calmes mais toutes aussi entraînantes. On les reconnaît bien, et la performance vocale est même plus poussée.
D'ailleurs, dans From Gaïa To Galderia et Call to The World, les ballades sont très touchantes ! A en pleurer ! A lever le briquet ,en rythme, haut dans le ciel ! On a cette nostalgie avec l'acoustique et la voix qui ondule toute les harmonies qui changent toute la version.
On découvre aussi de nouvelles chansons telles que Pride and Courage, Winged Warriors, Land of Free Men, Grunwald. Elle donnent un côté frais, découverte très sympa !
Bref, pour des versions acoustiques, c'est un album génial ! Les ballades sont encore plus touchantes, on découvre de nouvelles musiques et on revisite les anciennes. Le chœur a vraiment apporté un plus sympa ! Armés de leurs magnifiques voix et de leurs guitares acoustiques, piano et percussions, Galderia nous en a fait de belles !
Leaders of the Starry Skies
En 2016 est sorti le premier album de Quiet Human, Leaders of the starry Skies, avec Verdo, Max Segovia, Lily Martinez, JC Chicco et Bob Saliba. Musiques calmes et reposantes sont au rendez-vous.
On commence avec The Will to Leave. Avec un chant doux et féminin, une mélodie calme qui prend du poids avec le solo et la batterie. La voix chaude qui vient se rajouter de temps en temps sur le chant principal donne un équilibre agréable.
Can't Help Loving You, suit l'idée de la précédente avec cette fois la batterie dès le début pour ce rythme de balancement. On a refrain bien marqué.
On poursuit avec Ride Out In Space part 1. C'est la première instrumentale. La mélodie est assez mystérieuse.
Sunrise On Mars est la suivante. Elle change de chant avec une voix masculine. Le caractère change aussi, on a un côté lancinant. Les deux solos différents varient la chanson.
On retrouve un peu le style des deux premières avec Reach Out for Today. La douceur, la mélodie toujours calme et le chant féminin mais cette fois plus grave.
Gabriel, la moitié de l'album, une instrumentale. Un très bel interlude à l'acoustique.
On passe à Lady from the Stars. On revient cette fois dans l'esprit de la quatrième. Mais la voix est plus envolée.
Ride Out in Space part 2, un ensemble de voix mixtes, une belle harmonie et une mélodie avec un rythme différent du reste des chansons.
Et No Stargazing Tonight, une voix masculine bien chaude, calme, et un solo très doux.
On termine l'album avec Leaders to the Starry Skies. On retrouve l'ambiance du premier morceau avec la voix grave qui vient se rajouter sur la voix féminine. Une mélodie qui reste en tête chantée aussi, et refrain envolé. 3 solos qui achèvent cet opus.
Un album calme, mélancolique et très beau ! Il est varié grâce aux voix, qui sont différentes, aux styles qui changent. On ressent vraiment deux parties. De magnifiques solos et instrumentales ! Superbe !
Vision Humaine
Le premier EP, Vision Humaine de Trigones Plus est sorti en 2014. Le groupe Lyonnais propose du Rock un peu progressif avec des paroles qui parlent de leur regard sur le monde.
On commence avec Capital. On y trouve un principe d'alternance entre un couplet dominé par une voix omniprésente et rythmée ainsi qu' une ligne de basse lancinante et un refrain plus groovy, plus rock. Elle est mélancolique et a un tempo plutôt lent.
La seconde est plus rapide. 2027, avec un style plus punk, rock, la musique est plus pulsée, des rythmes plus endiablés. La guitare est plus mise en avant.
Tout Passe, on repart sur un rythme plus lent. Une musique nostalgique, toute calme sur les couplets, mais les refrains sont lourds avec la guitare.
On passe à Seul. Elle a un rythme plus saccadé, plus lourd et lent sauf sur la fin où elle devient un peu plus rapide.
Pour la dernière, Nelson. Elle swingue, elle est groove et entraînante. Un tempo modéré, et un moment dédié à la basse.
Pour ce premier mini album, on a retrouvé le rock français ! Il nous fait réfléchir grâce aux textes et une voix que j'ai sentie influencée par Damien Saez. J'ai beaucoup apprécié l’équilibre entre chaque instrument. Bravo.
Sans Consentement
Le deuxième EP Sans Consentement est sorti en 2018. On retrouve leur style dans cette suite de leur discographie.
On débute avec En Verres et Contre Toi. On retrouve le style du premier EP avec la voix omniprésente mais avec un son plus mature et plus de puissance.
Sans Consentement, on a un son très saturé dans le style rock punk des années 90 en alternance avec des passages calmes. Une voix remarquable.
On enchaîne avec Confession d'un Fidèle. Une intro très à « la française » qui annonce un morceau plus musclé où la guitare devient plus présente. Bref un morceau varié et prenant.
A ma merci, un titre qui pose ses opinions de par ses paroles et sa musique. Un mélange de musique mélodique et de rock à l'état pur.
On termine avec Alice. Un morceau semi ballade envoûtant. On y retrouve des ambiances « TOOL ».
Un EP bien réalisé, varié avec des sonorités qui nous rappellent « Steven Wilson ». Ils succèdent aux grands avec ce nouveau disque plein de fraîcheur et de professionnalisme.
Debackliner
Le premier opus de Debackliner, Debackliner sorti en 2016 est une très belle surprise. Un groupe de Heavy métal français inspiré par Iron Maiden, Jorn et d'autres groupes dans le genre, composé de Thomas Pognante, Rémi Caleca, Bob Saliba, Serge Servise et Eric Luvera.
Leur album est une véritable bombe ! Il respire le bon heavy avec une pointe de modernisme. Le premier titre démarre fort, Pandora. C'est une véritable boite interdite et tentante. Elle commence par une mélodie bien prenante et quand la batterie retentit, c'est la puissance qui attaque.
On enchaîne avec Rise of Angel, elle a un rythme plus lourd et les voix « graves » et « aiguës » commencent à se mixer.
Children of the Night, celle que je dirais la plus accessible. Avec la grande présence de la basse au début, et une mélodie assez entraînante, le refrain est plus simple à retenir et à chanter. La batterie est aussi très présente. Le changement de rythme varie, surprend et lui donne énormément de charme.
Puis vient Werewolf. Pas le temps de souffler ! Elle est très rapide et redonne une dynamique à la moitié de l'opus. C'est un gros avantage, ce morceau « réveille » et ne nous lasse pas comme cela pourrait arriver. De plus les chœurs donnent un côté symphonique vers la moitié du morceau.
Erase the Hordes, ressemble un peu à Pandora. Elle commence par une mélodie et c'est la batterie qui vient rajouter la puissance, pour autant elles sont très différentes. Elle est vraiment impressionnante, et là je cite pour la partie vocale ! Le solo est aussi changeant et enchaîne avec une mélodie digne du Heavy.
La suivante Mr. Jack, est à nouveau pleines de surprises. Un premier riff de guitare avec une batterie qui marque une partie saccadée qui se termine en rythme bien rapide, elle se suit d'une partie de basse et de chant très calme et lourde. Et les harmonies repartent en flèches. Cette musique se module et se saccade régulièrement mais c'est un changement qui donne du plus à l'album.
The Omega, part sur une mélodie dans les « graves ». On est en plein heavy métal du style américain, mais le refrain dérive sur une mélodie plus fine qui pourrait presque être du power. Cette alternance est une bonne trouvaille. Le morceau possède une deuxième partie avec cette fois, un heavy beaucoup plus européen et je dirais même influencé par Iron Maiden.
Prenons la mer. Jolly Roger, c'est un morceau fait de plusieurs parties, plusieurs rythmes, plusieurs mélodies. Ce mélange est un pur chef d’œuvre. Ce changement me fait penser à l'océan qui bouge selon le vent, et nous sommes en pleins dedans n'est-ce pas ?
Pour boucler l'opus, Circle. Un titre qui se démarque vraiment des autres avec les voix en premier lieu. Il y a une réelle alternance avec les deux styles de chants. Ensuite le morceau est plus heavy du genre prog. Il est puissant et lourd. Un morceau qui envoie pour terminer sur les chapeaux de roues !
En bref, un petit bijou cet opus ! La diversité des morceaux, et je n'ai pas beaucoup parlé des voix et du chanteur, mais je n'ai pas grand chose à dire à part que Wouah ! Un chant impressionnant et somptueux, des influences ressenties de Jorn Land et ce coté éraillé ! Bob Saliba a vraiment fait du beau boulot, tout comme Thomas Pognante, Rémi Caleca et Serge Servise qui ont écrit ces chefs d’œuvres inoubliables ! Donc voilà, un magnifique album ! Des riffs magistraux avec les solos, des rythmes endiablés ! Je n'ai qu'une chose à dire, chapeau bas. Foncez !!
Heroikos
Héroikos est le deuxième album de Stonecast sorti en 2013. Après le premier, ils reviennent sur un style plus Heavy avec des textes sur les légendes méditerranéennes.
On commence avec Jakuta. On entre directement dans le vif du sujet ! Un rythme lourd et la voix très grave au début nous rappelle le premier opus, et pourtant. Rapidement, une voix claire et plus envolée avec des riffs rapides s'installent. On reconnaît facilement l'influence Manowar.
The Barbaric Rhyme, un tempo plus rapide et un rythme saccadé nous accueillent.
On enchaîne avec Elysean Winds. Une instrumentale assez mélancolique mais aussi aventurière. Très belle partie à la guitare.
Triumph, On repart sur des rythmes lourds et puissants. Puis un moment calme avec la voix et de l'acoustique. Un beau mélange entre ces deux styles. Avec en plus un choeur vers la fin faisant penser à un appel.
Ensuite Substance, la ballade de l'album. En acoustique avec une voix claire tout le long, et des envolées mises en valeurs. Très belle coupure avec de la mandoline en plus.
Of Fire and Ice, celle-ci se rapproche d'un heavy mélodique, plus vers du power. Mais elle garde de la lourdeur et on retrouve le guttural. On sent qu'on a attaqué la deuxième partie de l'album car la puissance est revenue.
On passe à Kings Unborn. Une deuxième acoustique qui cette fois m'a fait penser à du Blind Guardian. Une seconde ballade calme qui recoupe l'album et marque une jolie pause.
Gods of Dust, on reprend avec l'alternance entre les deux styles de voix. C'est un grand contraste avec la musique précédente. Le morceau est varié.
The Place, Troisième acoustique, troisième ballade. La voix est très bien mise en valeur et la musique est toujours apaisante.
On finit dans la puissance avec Savage Princes. Un morceau saccadé, heavy et lourd, avec une voix envolée.
En bref un album varié, avec 3 morceaux acoustiques qui coupent et calment l'album. De très beaux solos et une belle richesse. Bravo à eux pour ce très bon deuxième album !
Akiavel
En 2018 est sorti l'EP d'Akiavel, groupe du sud. Ils nous ont montré leur carte de visite pour le prochain album prévu en 2019 et il sera bon !
Avec trois titres qui envoient de la puissance, des sons lourds et des riffs harmonieux ! Cold Pussycat et Rape the Limit sont plus rapides tandis que Burn est pour moi plus axé sur la lourdeur et un rythme saccadé. Un chant en growl qui en jette !
Franchement, comment ne pas vouloir headbanger sur ces musiques ? Avec des mélodies recherchées, travaillées dans leur death metal.
Des morceaux variés, ils changent plusieurs fois de rythme, de mélodie ce qui les rend uniques et oblige à les écouter en entier pour ne pas en manquer.
Alors allez écouter les trois titres ! Ils annoncent une belle bombe pour 2019 ! Un death metal varié ! Juste waow !
The Beast Inside
Le tout premier album de StoneHorns, The beast Inside sorti en 2018. Du bon groove metal marseillais !
Une intro, The Passing au départ orchestrale puis par la suite plus metal. Elle est bien lourde et calme.
Allegiance to the Beast, avec un rythme bien saccadé et une voix grave. Des riffs mélodieux et on varie entre la rapidité et la puissance.
On poursuit avec At the Gates of the Devil's Mansion. Des sons bien modernes, rapides. Un morceau qui en envoie, difficile de ne pas headbanger !
In Frontline et The Pit of Hornthrone. toujours dans la même ambiance on a de la puissance, de la voix ! Du groove !
On enchaîne avec Scuttling Theory. Sur celle-ci on a vraiment une alternance de rythme au niveau du chant avec le débit. Ceci équilibre parfaitement le titre ;
Storm of Torments, un refrain avec une mélodie et des paroles qui restent. Une bonne chanson qui en concert fera bouger des foules !
On continue avec Unshaken Soul. Un morceau plus lourd et lent qui marque le début de la deuxième partie de l'album.
On reprend de l'énergie avec Ancient World's Ashes. Une musique bien pulsée avec de la puissance dans la voix, un solo bien speed !
Reach the Astrophyllite's Sphere, l'intro qui nous met dans l'ambiance à la guitare puis la voix qui entre en scène avec la guitare ce qui explose tout !
On arrive avec de la rapidité Anger, Remorse, repeat. A l'inverse de la précédente, c'est la voix qui nous donne la mélodie et l'ambiance tandis que les instruments amènent la puissance et la vitesse.
Cervantes' Threnody, un changement régulier de mélodie dans ce titre très plaisant.
On termine avec One Last Stand. On retrouve cette ambiance lente et inquiétante en intro, puis la puissance, le coté saccadé... Pour moi ce titre est vraiment la conclusion de l'album regroupant un peu de chaque morceau.
Un excellent album ! Chaque morceau donne envie de headbanger ! L'opus est varié, mais garde tout le long cette ambiance un peu inquiétante et lourde et c'est aussi ce qui fait son charme. Un grand bravo à StoneHorns !
Univers Sale
Le nouvel opus de Grazed est sorti en 2018, Univers sale. Du thrash/ Death Nimois.
On commence avec le morceau Offrande Sacrificielle. On entre directement dans le sujet avec de la puissance et un rythme assez rapide.
Où Sont les Femmes (Libres) ? Le deuxième fait ressortir un côté assez heavy sur les riffs de guitares. Mais la batterie et la voix nous rappellent vite au thrash/ death. Un mélange tout à fait plaisant.
On passe ensuite à Smic ta Mère.On retrouve cette ambiance de puissance et de rapidité avec un rythme saccadé par moment. Un solo de guitare moderne contrastant avec la musique ressortant très bien.
L'Homme Invisible, avec une mélodie heavy et de belles harmonies. On alterne entre les voix « aigus » et « graves ».
Puis vient Univers Sale. Un morceau représentatif je dirais. Il équilibre tous les points musicaux de l'album et les assemble.
Glupides des riffs modernes sur de la puissance. Avec une ambiance mystérieuse par moment.
On enchaîne avec Bachar. Les rythmes varient avec les riffs. Un solo moderne et aigu contrastant bien avec la batterie.
Grazed anatomie, une intro à la fois lourde et légère. L'ambiance mystérieuse est bien présente. On enchaîne avec de la rapidité par la suite dans le morceau.
On passe à Petroleum Rex. Un morceau qui représente bien le côté Death à mon goût avec de belles harmonies.
Celtique et Tac, l'ambiance et comme le précédent morceau le Death !
On finit avec Mascarade. Le côté saccadé qui nous fait headbanger est bien présent.
Un opus mélangeant le Death/ Thrash et le heavy avec de belles harmonies mais aussi de la puissance, de la rapidité et parfois même de la loudeur. Comment ne pas taper du pied le rythme ? Très bon nouvel album de Grazed !
Betrayed
Chronique à venir...
I earther
Le 3ème album de Stonecast ! I earther sorti en 2019, un nouvel album qui a des choses à dire !
On commence par Captors of Insanity. Une intro avec des sons étranges voir inquiétants puis on entre dans le vif du sujet. Un morceau puissant et mélodieux, avec des choeurs sur le refrain. Un solo harmonieux.
Goddess of Rain, on entame avec un riff bien rapide qui nous rappelle leurs influences. Le chant qui monte régulièrement équilibre parfaitement ce morceau avec les harmonies à la guitare bien heavy. Un morceau sensationnel pour moi.
On enchaîne avec The Cherokee. Difficile de ne pas marquer le rythme avec la batterie qui annonce la couleur dès le début. Le chant est vraiment remarquable sur celle-ci avec les diversités de celui-ci. Un solo légèrement heavy/ power, un joli mélange avec la guitare acoustique.
The Earther, on retrouve ces influences qu'il y a sur le second morceau. Des riffs avec le chant, les choeurs très émotifs et puissants. Un solo qui vient rajouter une pointe de modernité.
On passe à Animal Reign. Une chanson qui envoie du lourd, à jouer sur scène avec du headbanging à fond ! Faire chanter le publique sur le refrain, avec la mélodie qui reste en tête.
Forevermore, la ballade ! Levez les briquets ! Très belle musique. Une acoustique accompagnée d'un chant touchant.
On ré-attaque fort avec Precipice To Hell. La puissance de ce morceau ainsi que ces riffs mélodieux ! Le passage tout calme surprend complètement mais il est très plaisant.
Resistance, une intro « particulière » suivie par une mélodie lourde. Le chant envolé créer une mélancolie accompagné du passage à l'acoustique. Le morceau va s'accélérer et prendre de l'ampleur. Et un solo contrastant avec la mélodie, magnifique.
On finit en beauté avec Stainless. Tout comme la troisième chanson, le rythme est bien marqué. On retrouve un heavy bien lourd avec ces riffs plus mélodieux et un chant plus « grave ». un solo presque mélancolique. Et on retrouve à la toute fin pour boucler la boucle, les « bruits étranges » du début.
WAOW ! En tout premier bravo à Beev, Cazu, Franck et Bob pour cet album de toute beauté ! Un plus avec Franky Constanza à la batterie. Des solos magistraux, des riffs mélodieux, une voix impressionnante, une batterie qui en impose et une basse qui arrondit bien les morceaux. Il y en a pour tous les goûts pour les fans de heavy, le lourd, le mélodieux, le rapide, le lent, … Je suis passée par toutes mes émotions en écoutant cet album. Donc une pépite ce dernier album de Stonecast.